Cela a commencé quand j'étais au collège (1)

Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 9 ans

Après une enfance assez heureuse, je suis rentré au collège en sixième comme tout le monde où j'ai déjà subi des moqueries liées à ma religion protestante et à l'origine slave centre Europe de mon nom. Mais c'est à mon passage en cinquième que mes harceleurs ont augmenté mes tourments.

Pas très agile en éducation physique, j'avais des difficultés à monter à la corde entre autres et mes condisciples avaient de ce fait un sujet de moquerie bien réel. La remarque la plus courante était :" mais tire donc ton cul en l'air" ce qui faisait rire l'ensemble de la classe avec le regard amusé du prof de gym. Si en sport j'étais plus ou moins nul j'étais néanmoins premier en dessin et créativité et en français.

A la fin du deuxième semestre, lors d'une récréation, prenant mon courage à deux mains, j'ai chopé celui qui m'avait l'air d'être le moins costaud et je lui ai foutu une série de claques et un ou deux coups de poing et ce sont ces copains qui nous ont séparés. Voyant que je pouvais me défendre, ils se sont calmés et à après les vacances de Paques, un jeudi matin ils m'ont proposé de les rejoindre pour écouter quelques 45 tours de rock chez l'un deux l'après-midi même….

A mon arrivé, il y avait déjà trois de mes harceleurs, et on a commencé à écouter la musique jusqu'à l'arrivé d'un quatrième comparse qui état 1 classe au-dessus mais redoublait accompagné d'une fille qui n'était pas de notre collège et qui avait l'air d'être plus âgée.

Au bout d'un moment, le dernier arrivé dit, alors c'est lui en parlant de moi, alors il vous fait peur ? Il n'aime pas que l'on parle de ses fesses...de fille, mais ma copine Irène a dit que ce n'était pas possible et elle est d'accord pour être juge ! Voilà ce qu'on va faire : il enlève son pantalon et son slip et elle juge. Devant mon refus, il ajouta " ou bien tu obéis, ou bien comme on est quatre on te les enlève de f o r c e "

Ne tenant pas à me faire brutaliser, et malgré la pudeur je me suis exécuté. J'ai dû ensuite enlever ma chemise pour ne rien cacher de mes fesses, et écouter leurs commentaires tout en me baissant pour leur faire apprécier le galbe de mes fesses. Ma honte et ma pudeur disparaissant petit à petit je commençais à avoir un début d'érection et la dénommée Irène qui s'en était aperçue le fit remarquer aux autres. Tout de suite un de mes harceleur dit " mais regardez cette cochonne, ça l'excite de s'exhiber devant nous ", un autre rajouta "il faut la punir cette cochonne pour cela "

De fait, les regards d'Irène sur ma verge et ma main qui plaquée sur mon sexe pour un peu me protéger un peu donnaient le résultat inverse et j'avais maintenant une vraie érection ! Mes harceleurs discutant de plus belle sur la punition voire les punitions à me faire subir...

Le dernier arrivé, qui s'appelait Claude et qui apparemment était plus ou moins le chef dit voilà ce qu'on va faire :  On va commencer par lui donner une bonne fessée pour son inconduite, peut être que cela le fera débander. C'est ainsi que j'ai eu ma première fessée autre que parentale...mis en travers d'un tabouret de cuisine, les quatre se relayant pour me claquer les fesses. La couleur je ne la voyais pas mais la chaleur beaucoup sentie et j'ai effectivement partiellement débandé

Puis je vous dirai la suite

J'ai dû ainsi me dandiner en me caressant le sexe et la poitrine devant eux un bon moment.... et par moment ils rigolaient. Je voyais bien qu'ils avaient des réserves d 'humiliations et moi j'étais en train de perdre ma pudeur. Au bout d'un moment, Claude, dit Irène est d'accord avec moi Daniel est une vraie cochonne exhibitionniste. Je vais te rebaptiser en fille, et je vais t'appeler "Justine" comme celle qui appartenait au divin Marquis de SADE.

Et comme les petites putains sont rasées ...on va te raser ta petite bite et ton cul.

J'ai dû m'allonger sur le dos sur le canapé, écarter mes jambes en les relevant et garder la position en les tenant au niveau des genoux. Pendant ce temps Louis est allez à la salle de bains chercher le nécessaire de rasage de son père. Ils ont commencé à m'enduire le sexe avec un savon à barbe et fait mousser avec un blaireau puis passage du rasoir. Mes poils étaient déjà assez longs et il a fallu faire plusieurs passages et parfois il arrachait plus qu'il ne coupait puis cela a été le tour de l'anus. Debout le torse sur la table, m'écarter les fesses avec les mains pour libérer et offrir la raie des fesses totalement. Pour finir louis fit remarquer qu'une putain doit sentir bon et alla chercher une eau de Cologne et m'en a passé sur les testicules et l'anus.

La brulure était aussi brutalement forte que je me suis mis à pleurer... Voyant que j'avais vraiment mal, même si la douleur baisse assez vite j'ai eu un verre de coca j'ai pu me rhabiller et partir car il était 18 heures et il fallait ranger pour le retour des parents. Je suis rapidement rentré chez moi et le soir même réussi ayant réussi à cacher mon trouble lié à ce qui m'était arrivé, j'ai fermé la salle de bain à clé de peur qu'une de mes sœurs n'y fassent une entrée intempestive. Puis me suis retiré dans ma chambre et dans mon lit. Au souvenir de ce qui s'était passé je me remis à bander et me suis masturbé assez longuement sans m'imaginer ce qui allait m'arriver le lendemain matin.

En fait en arrivant à l'arrêt de bus du collège, j'ai vite compris que mon aventure avait été raconté, et commentée...et une fille de la classe de Claude fit remarquer qu'elle regrettait son absence à ce charmant spectacle. Ce dernier lui dit :  " Mais ne t'inquiète pas, cette cochonne de Justine reviendra jeudi prochain pour faire le service des boissons pendant qu'on écoutera la musique...tu pourras la voir…" Comme Mireille était redoublante, elle avait deux ans de plus que moi et avait l'air d'être déjà plus affranchie. La semaine s'est passée sous les regards amusés et je ne savais pas comment me sortir de ce traquenard. Je voyais bien à leurs conciliabules qu'ils allaient encore vouloir m'humilier. En parler à mes parents, les dénoncer au prof principal ?..mes parents allaient me dire que je n'avais qu'à de na pas fréquenter de mauvaises personnes et le prof de math...  J'étais pas bien de me dévoiler ainsi.

De plus Claude me menaçait de me casser la figure si je ne venais pas ou si je les dénonçais. Par manque de courage je pris le parti de ne rien faire et d'y aller en retard et mes séquences de masturbations le soir au lit ne me laissaient pas indifférent. A mon arrivée ils étaient tous présents, et à la demande d'Irène j'ai dû me dénuder rapidement, et constatant que j'avais une demi-érection, la fit remarquer à Mireille et aux autres. " Regardez-moi ça, cette cochonne est excitée de s'exhiber devant nous " Mireille rajouta de suite que vue le retour tardif de sa mère elle lui avait emprunté du maquillage pour faire de moi une vraie fille !

Et me voilà déguisée, lèvres pulpeuses avec un rouge voyant, yeux et paupières fardées.

Et ils enchainèrent avec une fessée à cause du retard qui fut assez douloureuse car Irène ne voulant pas se faire mal aux doigts demanda sa ceinture à Claude. Devant passer à genoux de l'un à l'autre pour recevoir les claques, parfois à quatre mains, je bandais de plus en plus. Les commentaires sur mon sexe et mes fesses lorsque passais d'une paire de genoux à la suivante m'excitaient également beaucoup. Puis j'ai dû m'engager à me soumettre ainsi tous les jeudis après-midi jusqu'à la fin de l'année scolaire.

Faire le service des boissons, Coca, limo découper éventuellement un gâteau, changer les disques sur la platine etc... A un moment, Mireille me dit de venir à ses genoux, de lui enlever ses chaussures et chaussettes car le printemps restait assez frais et elle m'ordonna de lui baiser les pieds en guise de soumission. Irène pour pas être en reste m'ordonna de lui lécher les pieds de lui sucer les orteils et bien sûr j'ai dû faire pareil avec Elle. Mireille fit remarquer qu'Elle avait beaucoup apprécié ma manière de sucer, mon jeu de langue et qu 'Elle en ferait une habitude. Irène l'approuva et conseilla mon traitement à Claude qui dit : moi c'est pas les pieds que j'aimerai me faire sucer et tout en disant celà il se caressait sur le pantalon.

Mireille ajoutant :" mais cette cochonne de Justine ne demande pas mieux, on sent aux mouvements de la langue qu'Elle adore sucer, et j'ai eu droit à quelles claques sur mes fesses rougies. Irène approuva en disant qu'à chaque claque ma langue et mes lèvres s'agitait encore plus et en me prenant par les cheveux me fit relever la tête " Allez  avoue que tu aimes ça, dit le que tu aimes que l'on te traite ainsi, me sucer mes pieds, me lécher entre les orteils" tout en me redonnant un coup de ceinturon qui ressemblait plus à une caresse qu'à un coup!

Oui Mademoiselle, j'aime honorer vos pieds! J'aime me soumettre à Vous. Cà m'est sorti sans réfléchir !

Si je te le demande tu feras ce que je veux ?

Oui Mademoiselle Tout ? Oui Mademoiselle

Vraiment TOUT ? Oui Mademoiselle

Et je sentais le regard amusé de tous les autres sur moi à quatre pattes devant eux.

Regarde Claude, regarde comme il est excité, regarde comme il a envie, mais il ne n'ose pas te demander...

Me prenant par les cheveux, Elle me conduisit à 4 pattes vers le fauteuil où était affalé Claude.  Descends-lui son pantalon et caresse lui son sexe, fait le bander ! Il m'embête toujours à vouloir que je le caresse quand on va au cinéma. La verge était tiède et sous la caresse des doigts repris rapidement une belle érection. On dirait que tes doigts sont aussi habiles sur le sexe des garçons que ta langue sur le pied des filles...Embrasse lui la verge, prends-le en bouche, fais-lui comme t'as fait avec mes orteils...et regardant son petit copain dans les yeux je t'interdis de jouir dans sa bouche. Au début j'ai eu un moment de dégout devant ce que pensait être ma déchéance, mais sentant venir son plaisir je sentais aussi venir une certaine fierté du plaisir que je donnais. Puis il a repoussé assez brutalement ma tête et s'est masturbé dans sa main.

Alors mes deux amis ça vous à fais plaisir ? Je ne pouvais pas le nier vu l'état de mon sexe en érection. Les trois autres avaient des yeux des yeux brillants Mireille et Louis s'embrassaient goulument. Alors Justine comme t'as l'air en forme, tu vas bien encore nous faire un petit spectacle en te branlant devant nous Je me suis exécuté et au moment de jouir Elle m'a tendu une petite cuillère en disant :" maintenant dégustation, mange ce que t'as en main " J'étais arrivé au fond du puit de l'humiliation et de la honte et même temps j'éprouvais un immense plaisir et une certaine fierté

Voilà comment j'ai découvert le sexe et découvert la soumission sexuelle qui m'a accompagné toute ma vie

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